C1Cet instrument dont l’origine remonterait au début des années 1850 était initialement un instrument modeste de 2 claviers (Grand-Orgue de 54 notes et Récit de 49 notes) ornant le salon d’un riche paroissien qui en fit don à St jean Baptiste de la Salle. Bien qu’un doute persiste sur le facteur d’origine, il parait vraisemblable que cet instrument ait été construit par Merklin dans les années 1850. Vers les années 1870, cet orgue sera augmenté d’un clavier de positif expressif composé de jeux typiques de la facture de Merklin. A cette époque l’orgue, qui a bien une plaque à cette dénomination, aurait été donc agrandi sous la direction de Merklin par son fidèle contremaître Joseph Gutschenritter et ses ouvriers. Enfin, des jeux plus tardifs semblent dater de son montage dans l’église en 1910.En 1981, l’orgue a été relevé par Jacques Barberis, puis par Bernard Dargassies en 2002. Il est actuellement entretenu par la manufacture Robert Frères de Nantes.La transmission de l’orgue est mécanique avec machine Barker au Grand-Orgue. La console est séparée, organiste face à l’orgue. Le buffet en chêne verni est composé d’une partie centrale à 2 niveaux et de 2 ailes en retrait. Outre les 2 anges assis qui accotent les grandes tourelles, il faut remarquer la statue qui surmonte l’avant corps central. Elle représente en grandeur nature Sainte Cécile.Texte et photos console : Thierry Correard.
Saint-Jean-Baptiste de La Salle, construite entre 1908 et 1910 par l’architecte Edouard Jacquemin, est l’une des toutes premières érigées après la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Avec une voute de nef en berceau, le style intérieur est inspiré de l’art roman sans se rattacher à une école précise. Le blanc immaculé de la voute fait ressortir de beaux vitraux retraçant notamment les grands épisodes de la vie de Jean-Baptiste de La Salle.Il faut absolument prendre le temps d’admirer la mosaïque de l'arc triomphal décorant l’abside et dédiée à la gloire du Christ et à celle de Jean-Baptiste de La Salle. Elle est l’œuvre de Marcel Imbs (1882-1935), mais a été achevée par Jean Gaudin en 1935 après la mort de Marcel Imbs .
C1Cet instrument dont l’origine remonterait au début des années 1850 était initialement un instrument modeste de 2 claviers (Grand-Orgue de 54 notes et Récit de 49 notes) ornant le salon d’un riche paroissien qui en fit don à St jean Baptiste de la Salle. Bien qu’un doute persiste sur le facteur d’origine, il parait vraisemblable que cet instrument ait été construit par Merklin dans les années 1850. Vers les années 1870, cet orgue sera augmenté d’un clavier de positif expressif composé de jeux typiques de la facture de Merklin. A cette époque l’orgue, qui a bien une plaque à cette dénomination, aurait été donc agrandi sous la direction de Merklin par son fidèle contremaître Joseph Gutschenritter et ses ouvriers. Enfin, des jeux plus tardifs semblent dater de son montage dans l’église en 1910.En 1981, l’orgue a été relevé par Jacques Barberis, puis par Bernard Dargassies en 2002. Il est actuellement entretenu par la manufacture Robert Frères de Nantes.La transmission de l’orgue est mécanique avec machine Barker au Grand-Orgue. La console est séparée, organiste face à l’orgue. Le buffet en chêne verni est composé d’une partie centrale à 2 niveaux et de 2 ailes en retrait. Outre les 2 anges assis qui accotent les grandes tourelles, il faut remarquer la statue qui surmonte l’avant corps central. Elle représente en grandeur nature Sainte Cécile.Texte et photos console : Thierry Correard.