Organiste titulaire Jean-François Hatton, Ayumi Taga, Vincent CoupetConcerts-Messes avec orgueSamedi à 18h30, Dimanche à 9h30 et 11hVidéos-
L'église Saint-Ferdinand-des-Ternes doit son nom au prince héritier Ferdinand-Philippe d'Orléans, mort dans un accident en 1842, à l'âge de 32 ans. La reine Amélie avait déjà fait ériger la chapelle Saint-Ferdinand sur les lieux du drame (elle fut terminée en 1843) : c'est l'actuelle église Notre-Dame-de-la-Compassion. Mais un nouveau sanctuaire fut construit de 1842 à 1845, non loin du premier, sur les plans de l'architecte Paul-Eugène Lequeux (1806-1873). En 1860, le lieu-dit des «Ternes» fut rattaché à la ville de Paris. Et en 1934, une nouvelle église, plus grande, vient remplacer l'ancienne. Les plans en sont confiés aux architectes Paul Thédon, Frédéric Bertrand et Pierre Durand. Ils choisirent le style romano-byzantin, empreint de modernisme. L'édifice fut achevé en 1957.Saint-Ferdinand est une splendide et vaste église à trois coupoles, ornées de nombreuses peintures (souvent en style naïf) réalisées par des artistes désignés par les Beaux-Arts. Source
A1En 1994 et 1995, le facteur Pascal QUOIRIN de Saint-Didier (Vaucluse) a construit le grand-orgue actuel, sur une nouvelle tribune.Il s’agit d’un instrument de style classique français mais adapté à l’interprétation d’un répertoire plus large. L’orgue de 34 jeux est doté d’un Positif de dos. Les transmissions sont mécaniques et la console est située en fenêtre centrale du grand buffet.SourceL’ancienne église possédait un grand-orgue Cavaillé-Coll, construit en 1853. C’était l’Opus 60, un instrument de 25 jeux sur trois claviers et pédalier, doté de transmissions mécaniques. Cet orgue a été transféré dans la nouvelle église dans les années 1950. En 1963, il a été restauré par la maison, Beuchet-Debierre de Nantes (Loire-Atlantique), qui a électrifié les transmissions et a modifié la disposition dans le style néo-classique. Le buffet supérieur a été démonté et cédé à l’église St Jean-Baptiste de Montaigu (Vendée).Un deuxième instrument de 14 jeux sur deux claviers et pédalier est livré par la maison Cavaillé-Coll en décembre 1897 ou janvier 1898 (Op 665). Il s’agit de l’ancien orgue des Concerts Lamoureux de Paris, utilisé comme orgue de chœur. Cet instrument sera transféré vers 1930 au Mémorial 14-18 de Notre-Dame-de-Lorette près de Douai (Nord).En 2009, l'orgue de la crypte a été démonté pour être restauré puis remonté dans l'église de Vaux-sur-Seine(Yvelines).Source
A1En 1994 et 1995, le facteur Pascal QUOIRIN de Saint-Didier (Vaucluse) a construit le grand-orgue actuel, sur une nouvelle tribune.Il s’agit d’un instrument de style classique français mais adapté à l’interprétation d’un répertoire plus large. L’orgue de 34 jeux est doté d’un Positif de dos. Les transmissions sont mécaniques et la console est située en fenêtre centrale du grand buffet.SourceL’ancienne église possédait un grand-orgue Cavaillé-Coll, construit en 1853. C’était l’Opus 60, un instrument de 25 jeux sur trois claviers et pédalier, doté de transmissions mécaniques. Cet orgue a été transféré dans la nouvelle église dans les années 1950. En 1963, il a été restauré par la maison, Beuchet-Debierre de Nantes (Loire-Atlantique), qui a électrifié les transmissions et a modifié la disposition dans le style néo-classique. Le buffet supérieur a été démonté et cédé à l’église St Jean-Baptiste de Montaigu (Vendée).Un deuxième instrument de 14 jeux sur deux claviers et pédalier est livré par la maison Cavaillé-Coll en décembre 1897 ou janvier 1898 (Op 665). Il s’agit de l’ancien orgue des Concerts Lamoureux de Paris, utilisé comme orgue de chœur. Cet instrument sera transféré vers 1930 au Mémorial 14-18 de Notre-Dame-de-Lorette près de Douai (Nord).En 2009, l'orgue de la crypte a été démonté pour être restauré puis remonté dans l'église de Vaux-sur-Seine(Yvelines).Source
Organiste titulaire Jean-François Hatton, Ayumi Taga, Vincent CoupetConcerts-Messes avec orgueSamedi à 18h30, Dimanche à 9h30 et 11hVidéos-